Je vous ai beaucoup parlé de ma vie, de me famille ou de mon école mais pas beaucoup du Pérou lui-même je me rend compte. J’ai envie de vous parler d’un autre Pérou, pas celui des touristes avec les bonnets péruviens, les grandes montagnes et les lamas, vous vous en doutez surement. Mais je veux aussi enlever d’autres aprioris, plus subtils mais tout aussi rependu sur le Pérou, ceux d’un Pérou remplis de misère. Si je n’ai pas plus parlé du Pérou c’est que c’est dur de trouver les mots pour décrire se que je vis sans tomber dans l’un ou l’autre des cas. Je vais essayer de commencer en vous parlant de ma ville et des activités de celle-ci. Bien sur il y a beaucoup de pauvreté, se serait être aveugle que de le nier. Dans la rue, beaucoup de personnes vendent toutes sortes de chose pour gagner un peu d’argent, des enfants travaillent. Beaucoup de maison sont en brique nues, pas vraiment fermé, dés que l’on sort du centre ville, les rues peuvent être en terre et souvent assez sale. Mais c’est plus loin encore que je veux aller, apprendre à regarder l’envers du décor, ne pas s’arrêter au premier apriori. J’ai remarqué par exemple que plus les quartiers sont pauvres, plus il se passe des choses dans le rue. On peut tout voir dans la rue, de la nourriture, des enfants qui jouent au volley en tendant un filet entre deux maisons, una señora qui lave son linge, une autre qui file la laine ou tricote, des voisins qui mange ensemble, ou des gens qui danse dans le rue parce que les maisons sont trop petites. Les gens sont donc plus proches les uns des autres, et se connaissent mieux, surtout entre voisins. On voit aussi, toujours dans les quartiers les plus éloigné du centre, des animaux qui broutent un brin d’herbe sous le regard de leur berger. En face de chez moi se sont succéder sur le terrain vague un âne, des vaches, des moutons… Tous cela faits que le rue est vraiment un lieu très vivant et que se balader simplement est une véritable aventure au début. Le centre ville est très différent, les maisons d’abord sont plus anciennes et on peut voir l’architecture de la période de colonisation hispanique. On voit ensuite dans tous les coins de rue des petits marchands de tout et de riens, principalement de nourriture, soda et gâteaux qui s’installent le matin et repli leur affaire le soir. Il y a ensuite les magasins fixes, du centre ville, ils sont beaucoup plus petits mais beaucoup plus nombreux, on peut acheter de tout moins cher qu’en France. Finalement au centre de la ville se trouve « la Plaza de arma », la place centrale qu’on trouve dans toutes les villes, elle est très jolie, entourer d’Eglise, de bâtiments de la "conquista espanol" et d’arbres et fleurs.
Voila qq photos
Là c'est dans les quartiers les plus eloigne du centre, les maisons sont en je se sais pas quel materieux exatemenet mais c'est un melange de boue et paille d'ici, c'est plus vite construit et c'est moins cher. La ville est en pleinne extention et les gens qui viennent des campagne habitent dans ces maisons.
DSl il me manque plus de photos, elles arrivent. Un grand merci aussi à mon père d'acceuil qui est photographe et a qui j'ai prit les photos =)
Je trouve cet article très intéressant...